
Quand les automobiles ne sont pas abandonnées dans la nature ou dans des décharges de voitures, comme c’est le cas dans certains pays qui n’ont pas une politique de recyclage des automobiles, il y a la décomposition des éléments toxiques de l'automobile qui met en péril les sols et les nappes phréatique. En réalité, les automobiles subissent le recyclage d'une partie de ses éléments. Parmi les déchets dangereux, on trouve les batteries les huiles moteur, les filtres, les liquides de frein et de refroidissement, les fluides de climatisation, les éléments pyrotechniques utilisés dans les coussins gonflables de sécurité (airbags) ou les prétensionneurs de ceinture, mais aussi les pneus, les pare-chocs, les pare-brise, les éléments de carrosserie… .
Chez nous, et en l’absence de stations de recyclage pour éliminer ce souci, les véhicules sont abandonnés pratiquement en l’état, les éléments réutilisables étant prélevés en priorité. Difficile de savoir combien d’épaves gisent dans la nature, tant l’idée de barrer la carte grise lorsque le véhicule est réformé ou abandonné n’existe pas chez nous.
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